Blasphème et sacrilège

Dossier du numéro L'idée d'Université

Depuis que le blasphème ne tombe plus sous le coup de la loi, chacun peut dénoncer librement la croyance de son semblable dès lors que sa parole ne porte pas atteinte à la dignité de sa personne. Mais l’atteinte aux croyances n’induit-elle pas nécessairement l’atteinte aux personnes ? C’est bien autour de la question des limites de l’autonomie que s’agence aujourd’hui le principal de nos disputes civiques.


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